Fan Festival - Cannes 2006
17, 18 & 19 Février 2006
Bienvenue à Cannes ! C’est sur la Côte d’Azur que se tient jusqu’à aujourd’hui le Fan Festival édition 2006 où je me suis rendu hier samedi.
Sur un peu plus de 3000 m² dans le hall 1 du Palais des Festivals de Cannes étaient regroupés jeux vidéo, manga et anime. Par un soleil radieux, 18°C, une petite ballade sur la croisette eut été bien tentante mais c’est vers la convention que mes pas me guidaient. Arrivé devant le Palais des Festivals, impossible de rater le 20ème Festival des Jeux tant les affiches étaient gigantesques et surtout omniprésentes sur tous les supports à proximité. Mais aucune trace du Fan Festival.
Je tente une entrée dans le Festival des Jeux et là des flèches m’indiquent la billetterie pour l’espace « Jeux-vidéo et Manga », toujours pas de trace du Fan Festival en tant que tel. Je m’acquitte de mes 5 ? de droits d’entrée et me dirige vers ce fameux espace « Jeux-vidéo et Manga ». En dehors du petit flyer à la billetterie, aucune information n’est présente pour nous indiquer le Fan Festival.
Arrivé dans la convention vers 13h, je ne m’étonne pas de trouver un salon relativement vide à l’heure du repas. Quoi qu’il en soit, je commence à flâner dans les allées où se répondent stands commerciaux et amateurs. Difficile d’ailleurs de faire la différence lorsque l’on est pas spécialiste entre les boutiques et les éditeurs, tout est mélangé au sein du salon. Le temps passe et après quelques achats et des contacts forts chaleureux avec différents fanzines et autres stands amateurs, l’ennui commence à surgir alors que les visiteurs se font plus nombreux. Il est vrai que ce samedi n’est pas très chargé en festivités. Un concours est organisé sous forme d’un quizz express. Je m’attarde autour, l’ambiance n’est semble-t-il pas au rendez-vous. Dommage pour moi, le cosplay n’était présent que ce dimanche. Après une paire d’heures passées à déambuler entre les stands, je décide de rentrer. Direction la gare et Grenoble avec mes paquets, un peu déçu malgré tout.
Chronique publiée le
19
février
2006
par Christophe SAUVEUR